Difficile dans cette ambiance de se faire une réelle impression des toutes les nouveautés offertes par les différents partenaires. Toujours est-il qu’elles sont nombreuses et méritent en tous les cas une visite, ne serait-ce que pour avoir une vue sur l’ensemble du marché suisse dans ce domaine.
Entre ficelles, papiers d’emballage, plastic et autres agités du marteau, nous avons pu nous entretenir avec M. Oswald, qui a la double casquette de président de Moto Swiss et d’importateur de Kawasaki.

Il apparaît que le monde du deux roues se porte plutôt bien, grâce entre autre à une forte remontée des véhicules de type urbain, scooters entre autre. Là aussi le trend sur le tout électrique imite le grand frère, la voiture.

Un sujet tient vraiment les importateurs à cœur.  Relever de façon claire, qu’ils ont tous réagi de manière positive et offensive à l’évolution du marché entre le franc suisse et l’euro ou le yen, et si au début, il pouvait y avoir un intérêt à se déplacer à l’étranger pour acquérir son engin, cet attrait avait fortement diminué, et est largement compensé par la valeur ajouté par les réseaux de distribution au niveau du conseil et du service après-vente.

Bien entendu, ils sont tous là, depuis Harley Davidson en passant par Kawasaki, Honda, Suzuki ou encore Triumph et autres pour les motos, tout comme Peugeot Piaggio, Sym ou Kymco , pour les plus légers. Il ne faudrait pas oublier évidemment le secteur des véhicules « propres » où là aussi les découvertes ont nombreuses. Depuis, les inventeurs tels Mobilec avec des solutions originales et plus conventionnelles, ou encore l’entreprise VonRoll de Choindez avec sa gamme tout électrique aux couleurs fun VR, sans oublier dans le domaine plus exclusif la gamme Vectrix. Comme vous le voyez, il y en pour tous les goûts et pour tous les tarifs.

Une liste exhaustive serait bien longue à établir. Le plus simple reste donc à y aller faire un tour, cela en vaut la peine et en plus vous fera une belle sortie. Mais…..dépêchez-vous cela ne dure que jusqu’à dimanche…..

Jean Louis Vidal – février 2012